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Jan 22

Decouvrez le B. A. BA du lacher prise

lacher prise 50Lâcher prise, pourquoi faire?

 

Cette semaine j’ai décidé d’innover et de vous faire partager mes citations favorites. Pourquoi j’ai choisi le lâcher prise ? Parce que, pour faire suite à mon article sur l’année 9, c’est vraiment ce dont il est question cette année.

 

Lâcher prise n’est pas si simple, d’abord parce que vous ne savez pas toujours ce que vous tenez, ensuite parce que vous ignorez si c’est bien cela qu’il faut lâcher!

 

Il est important de se souvenir que ce que vous tenez est de l’ordre du non-conscient. Si vous saviez que vous le tenez, vous l’auriez déjà lâché!

 

Je n’arrive pas à retrouver un fabuleux dessin de Jodorowsky où on aperçoit un chevalier très fier de lui portant dans ses bras un dragon et au loin en haut de la tour la princesse avec l’épée dans le coeur.

 

Voyez qu’on se trompe souvent de sujet pour lâcher prise !

 

Donc nous avons affaire à un terme pas facile à comprendre. Je me souviens d’une femme qui m’avait fait un soin sur un salon et qui me disait:

 

« C’est tendu, il faut que tu lâches prise« …mais lâcher quoi ? Si je demande de l’aide, ce n’est pas pour m’entendre dire qu’il faut que je lâche !

 

Donc je vais vous parler de ma version du lâcher prise dans cet article, celle dont vous aurez sans doute besoin tout au long de cette année 9!

 

Et comme certains me l’ont demandé ardemment « est ce que tu pourrais faire des articles moins longs que j’aie le temps de les lire ?» je vais voir si partir d’une citation me rend moins loquace !

 

Écrire est ma passion, sans doute que mon ascendant gémeaux y est pour quelque chose. En fait j’écris toute la journée quand je ne suis pas en train d’enseigner, d’avoir des rendez-vous ou de peaufiner ma formation couleurs on line.

 

Au hasard de mes promenades sur le web, je suis tombée (sans me faire mal) sur une citation de Péma Chödron.

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Péma Chödron  et le lâcher prise

 

Péma Chödron est une petite bonne femme américaine qui ne paye pas de mine (éveillée tout de même) et qui a commencé une vie normale avec un mari et des enfants jusqu’à ce qu’elle devienne une nonne bouddhiste avant ses 40 ans.

 

Elle vient d’une lignée bouddhiste que j’affectionne particulièrement : la lignée Shambhala du bouddhisme tibétain, crée par Chögam Trundpa Rimpoche, maître réincarné, reconnu comme tel avant ses 2 ans par le 16 ème Karmapa.

 

Chögam Trungpa (je vous en ai déjà parlé) est le premier maître tibétain à avoir fondé un centre de pratique bouddhiste en occident et qui a crée le concept du « matérialisme spirituel » en observant les pratiques spirituelles occidentales.

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Maître très controversé, c’est lui qui a incarné la « folle sagesse » qui dépassait de très loin les enseignements bouddhistes mais c’est surtout celui qui a su parler aux occidentaux de leur mental (ce qui n’est pas rien!)

 

Peu d’enseignants avant lui s’étaient intéressés aux facéties du mental occidental, c’est vraiment une des particularité de l’école « Shambhala » dont Péma Chödron fait partie. Elle enseigne aujourd’hui au Canada.

 

Shambhala est un joli nom mythique mais vous ne pouvez pas vous y rendre car ce n’est pas un lieu géographique. Sa traduction en sanscrit : « lieu de bonheur paisible ».

 

C’est un royaume ou plutôt une terre promise plus intérieure qu’extérieure. Certains ont voulu en faire un lieu paradisiaque dans l’Himalaya c’est d’ailleurs le thème du film Shangri-la.(Lost horizons) datant de 1934 et réactualisé en 1973.

 

Vous pouvez trouver les 2 versions sur Utube mais en anglais: https://youtu.be/ep-MDwjnehg. Voici le début de l’intrigue: lors d’un accident d’avion, une équipe découvre une lamaserie en plein cœur de l’Himalaya. Et même si la musique est un peu « has been », c’est tout de même un grand classique en matière de spiritualité.

 

Pour en revenir à Péma Chödron, voici ce qu’elle nous enseigne :

« Nothing ever goes away until it teaches us what we need to know. »

Péma Chödron

 

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« Rien ne s’en va qui ne nous ait enseigné ce que nous avions besoin d’apprendre ».

 

Je trouve que cette citation sur le lâcher prise a le mérité d’être claire ! Alors, si vous n’arrivez pas à lâcher prise, c’est sans doute parce que c’est la situation qui vous tient. C’est pourquoi je vous ai concocté un petit « process » en 3 étapes :

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1ère étape du lâcher prise

 

La première étape consiste à regarder ce qu’il y a dans votre vie et qui ne vous convient pas. En général, vous n’aurez pas de mal pour cette première étape.

 

C’est peut être une réalité financière, une relation, l’absence de relation, un travail, une absence d’occupation, la hiérarchie, un collègue, un trop peu de clientèle, un lieu d’habitation, une maladie, un handicap, votre corps, un membre de votre famille etc…

 

A quoi reconnaissez-vous que cela ne vous plaît pas ? Parce que vous avez immédiatement tendance à vouloir vous en débarrasser au plus vite (ou à en guérir très vite). Autrement dit, vous aimeriez bien lâcher la situation mais rien n’y fait, elle vous tient !

 

Vous ne mettez pas le lâcher prise au bon endroit ! La situation en question est venue à vous car vous l’avez attirée. Elle restera là tant qu’elle vous sera utile même si votre égo n’aime pas.

 

Péma Chödron vous rappelle que si vous n’avez pas encore intégré les enseignements de ce « caillou dans votre chaussure », il ne s’en ira pas tant que vous n’aurez pas appris la leçon qu’il vient vous enseigner.

 

Ceci est valable aussi pour les maladies, les accidents et les drames : la vie sait ce qu’elle fait. Même si ces situations sont difficiles, elles portent en elles un enseignement pédagogique qu’il vous faut trouver.

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2ème leçon de lâcher prise

 

Accepter que c’est une réalité dans votre vie. Vous pensez que ça va de soi ? Vous savez que vous y êtes confronté mais vous ne voulez pas que ça en fasse partie.

 

Vous créez une forme de barrière magnétique entre vous et ce qui vous dérange en espérant une cohabitation sans vagues. Pourtant cela vous réveille au milieu de la nuit. C’est le sujet N°1 que vous partagez avec vos amis ou votre famille.

 

Vous vous plaignez certes, mais cela ne dit rien de votre capacité à accepter que ce soit comme cela pour le moment. En fait, vous avez créé un raccourci rapide entre « ce truc est dans ma vie » et « ça ne me plaît pas ».

 

Vous avez l’impression que si vous dites « oui, j’accepte que ce soit là dans ma vie pour le moment », le problème va s’incruster à vie et vous ne pourrez plus jamais vous en débarrasser sous prétexte que vous avez dit « oui «  un jour.

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Or personne ne vous demande d’être d’accord, juste accepter que cela fasse partie de votre vie pour le moment.

 

Qu’est ce qui m’a permis de faire cette différence entre « accepter » que cela fasse partie de ma vie et « être d’accord »? L’arrivée de 8 petits Barzoïs à la maison !

 

Je vous rappelle les faits…Le jour de mon webinaire de lancement de ma formation couleurs (à la seconde même où il s’est terminé), un hurlement nous a fait nous précipiter dans le jardin.

 

Drôle de coïncidence tout de même, au moment où je lançais mon premier « bébé », le chien (âgé de quelques mois seulement ) venait, de prendre la chienne et même si nous avions du mal à le croire, 2 mois plus tard, naissaient 9 petits barzoïs qui se sont transformés en 8 viables.

 

Tout fut problématique depuis le début ! C’est cela une mémoire. La naissance fut terrible, mais certainement pas aussi terrible que la mienne…;-)

 

J’avais vraiment l’impression que j’avais accepté que ce soit dans ma vie mais à plusieurs reprises j’ai bien vu que je me battais avec l’acceptation.

 

Lorsqu’il a fallu couper notre nuit en 2 pour veiller les petits barzoïs afin qu’ils ne se retrouvent pas écrasés par la mère en pleine nuit, j’ai franchi un nouveau seuil d’acceptation: puisqu’ils étaient, là, notre job c’était de nous en occuper.

 

Lorsque la mère s’est retrouvée à la clinique car cette naissance avait failli lui couter la vie (une autre mémoire), il a fallu nourrir les petits chiens au biberon plusieurs fois pendant la nuit…il a fallu ouvrir encore à plus d’acceptation.

 

En rentrant de Thaïlande, avec un regard neuf sur les petits chiens, j’ai mesuré combien ils étaient adorables et combien c’était une bénédiction dans notre vie.

 

MAIS…, car il y a un mais.

 

Je n’arrivais pas à me réjouir totalement car j’étais parasitée par une angoisse : que va t-on faire de ces 8 petits chiens et va t-on arriver à leur trouver un foyer accueillant?

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En fait, la peur anticipatoire prenait le dessus et m’empêchait littéralement d’apprécier l’instant présent avec eux. J’ai compris que l’acceptation, c’était aussi cela, accepter l’angoisse de leur devenir et travailler toutes les émotions que cela réveillait en moi.

 

Je me disais qu’avoir des enfants aurait généré le même type de mémoire pour moi. Comment être totalement présent à son enfant quand on a peur qu’il meure la nuit ou lorsqu’il prend l’avion quand il est grand ?

 

Comment être dans l’acceptation totale de son enfant quand on a peur qu’il ait de mauvaises notes, qu’il rate son bac ou qu’il ne sache pas comment s’orienter pour son futur métier ?

 

Vous comprenez que accepter c’est ne pas donner raison à ses peurs. Là où il y a de le peur, il n’y a pas d’amour ni d’acceptation.

 

Vos peurs vous appartiennent (en partie) et n’ont rien à voir avec la situation qui vous embête. Elles étaient déjà là avant que la situation ne les réveille. C’est votre job de les travailler, pas de vous inquiéter! N’oubliez pas qu’il y a TIPI ( technique d’identification des peurs inconscientes) pour cela!

 

Cette 2ème étape du lâcher prise n’est pas si simple et si elle n’est pas en place, il n’y aura pas de 3 ème étape donc pas de lâcher prise !

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3 ème étape : tirer la leçon de l’expérience

 

Trouver l’enseignement de la situation problématique. C’est peut-être la plus difficile et souvent il est bon de se faire donner un petit coup de pouce par quelqu’un.

 

Vous pouvez déjà pour poser 4 questions fondamentales :

 

a) Qu’est ce que cette situation m’oblige à faire ? Sans doute quelque chose que j’ai besoin d’apprendre.

b) Qu’est ce que cette situation m’empêche de faire ? Sans doute quelque chose que j’ai besoin de sentir.

c) Qu’est ce que je ressens dans cette situation ?

d) En quoi tout cela pourrait-il bien parler d’une situation du passé (le mien), celui de ma famille ou celui d’un ancêtre en particulier?

 

J’ai discuté récemment avec une femme qui venait d’acheter un bien dans un village loin de là où elle habite avec la conviction qu’elle avait fait une énorme bêtise.

 

Si elle décide de le lâcher, c’est à dire le revendre, sans tenir compte de l’enseignement de Péma Chödron, il y a de grosses chances  pour que le bien ne se revende pas…

 

… Pas avant d’avoir compris l’enseignement de cet achat. Pour d’autres, l’enseignement c’est de sentir ce que cela leur fait vivre que de ne pas pouvoir vendre leur maison.

 

C’est incroyable comme la matière a cette faculté de pouvoir nous enseigner (l’argent aussi!). Encore faut-il pouvoir décoder !

 

Je vous raconterai comment, avec les couleurs j’ai décodé l’enseignement des petits chiens et comment, du jour au lendemain, ils ont trouvé un lieu sympathique pour vivre. Il en restait 4.

 

La logique aurait voulu qu’ils partent un à un. Mais la résolution de mémoire ne se fait pas comme cela. Dès que l’enseignement pédagogique est intégré, la mémoire disparaît quasiment en un instant!

 

Je vous rappelle la signification de « pédagogie »: aptitude (qu’a la Vie) à enseigner une expérience ou un savoir par une méthode appropriée. Tant que vous doutez de la qualité « pédagogique » de la vie, vous allez avoir du mal à lâcher prise.

 

Je vous livrerai tout cela le mois prochain dans une série de vidéos pour vous expliquer comment on peut utiliser les couleurs pour décoder les enseignements de la vie.

 

Dès que vous avez digéré ce que votre mémoire avait à vous apprendre, elle se résout d’elle-même et là, vous savez que vous avez lâché prise !

 

Pari tenu pour la longueur du texte 😉 Voici 2 autres articles qui pourraient vous intéresser sur le lâcher prise et sur Chögyam Trungpa:

 

Pourquoi les moines se marient?

Comment lâcher prise dans les relations en 9 étapes?

 

Et vous, avez-vous cette expérience de lâcher prise ? AImeriez-vous comprendre les enseignements d’une situation encore non résolue ? Laissez un commentaire !

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Jan 14

Pourquoi les moines se marient…

Peut-on réussir sa vie seul ?

Cet article est proposé dans le cadre de la Croisée des blogs organisée en Janvier 2012 sur le blog de Michael sur http://www.mon-couple-heureux.com/a-la-croisee-des-blogs-2012/

Je me suis demandée à quel domaine pouvait s’appliquer cette question. Réussir sa vie, pour moi ne put parler que des deux grands facteurs de réussite: l’amour et le travail.

Réussir seul et amour ne me paraissant pas très compatibles, j’ai poursuivi ma réflexion du côté de la réussite au travail.

J’ai balayé le domaine sportif où réussir seul est synonyme de bon classement, et qui dit classement dit compétition donc les autres.

Dans une entreprise qui achète mes services je ne suis pas seul car j’ai un patron et des co-travailleurs avec moi.

J’en étais au self-made man et sa dépendance à ses clients quand l’image du moine que nous avions rencontré lors d’un voyage en Thaïlande au temple de Jade a surgi dans mon esprit.

Ah, me suis-je dit, c’est peut-être un domaine où l’on peut réussir seul, même si les moines œuvrent pour le bien de tous les êtres.

Dans la communion avec le divin, mon « partenaire » n’est pas humain.

Mis à part l’aide dont j’ai éventuellement besoin sous forme d’enseignements, je peux être seul sur ma voie de réalisation et y parvenir.

 

Les mauvaises raisons qui poussent à réussir seul sa vie spirituelle


Marc-Alain Descamps, philosophe, psychologue et psychanalyse français s’amuse à démanteler avec vigueur les pièges de la quête du divin.

Comme l’être humain est divisé en de nombreuses facettes, la spiritualité étant l’une d’elles, par conséquent, tous ses aspects psychologiques non résolus vont se transposer dans ce domaine.

Son mental va choisir la voie qui lui permet de camoufler les parties sombres de son être dans un justificatif spirituel pour ne pas avoir à les travailler.

  • Celui qui est coupé de ses sensations et de ses émotions va choisir la voie du renoncement et du détachement en croyant le vivre alors qu’il ignore totalement la réalité de ses attachements.

  • Celui qui n’a jamais eu le droit d’exister ni de place dans sa vie va choisir l’humilité sans savoir qu’il n’ a, en fait d’humilité, qu’une très mauvaise estime de lui-même.

  • Celui qui a peur de la foule et ne sait pas s’inscrire dans la société va devenir ermite et fuir les hommes (et les femmes) au nom de l’esprit.

  • Le sadomasochiste et l’anorexique vont peaufiner les ascèses du corps.
  • Ceux qui sont divisés intérieurement et n’ont pas accès à leur inconscient vont confondre les ombres de leur mental avec le diable en personne .

  • Les grands frustrés choisiront la voie zen et la contrainte des pratiques sans jamais travailler leur colère au nom de la rigueur de la voie.

 

Réussir sa vie…des grands mystiques dénoncent.

Jack Kornfield dans son étonnant ouvrage «après l’extase, la lessive» nous démontre avec beaucoup d’humour comment des êtres spirituels ayant atteint des états avancés de réalisation se retrouvent impuissants à vivre dans la société avec les paramètres relationnels.

 

 

Nos réalisations et nos prises de conscience nous dévoilent la réalité du monde, elles apportent des changements mais elles passent.

Nous savons tous qu’après la lune de miel, il y a le mariage et qu’après les élections, la dure tâche de gouverner. Dans la vie spirituelle, il en va de même : après l’extase, il y a la lessive. »

Daniel Odier, écrivain français et spécialiste de la voie shivaïte s’élève lui aussi contre « le grand sommeil des éveillés ».

Chögyam Trungpa Rinpoche, considéré comme une grande réincarnation de la lignée bouddhiste Kagyu (très présente en France) a fondé en Ecosse le premier centre de pratique bouddhiste tibétain en Occident.

C’est au sortir d’une méditation qu’il su qu’il était temps d’abandonner ses vœux monastiques pour devenir un enseignant laïc et se marier.

Son cas n’est pas unique dans cette voie d’éveil.

 

Un peu à l’inverse des Thaïlandais qui envoient les jeunes prendre l’habit du moine au moins une fois dans leur vie sous forme d’une ordination temporaire, il n’est pas rare qu’au terme de vingt ans de retraite , un moine se voit envoyer dans le monde vivre une vie « ordinaire » afin de mettre en pratique les révélations de sa méditation.

Ce thème était aussi au cœur du film « samsara » de Nalin Pan dans une scène mythique où le moine s’effondre lorsqu’il comprend qu’il n’a pas à choisir entre une vie monastique et une vie de famille mais que son malaise résulte d’une profonde division dont il n’est pas venu à bout malgré ses années de méditation.

Qu’y a t-il donc de si essentiel dans la vie relationnelle ? Est-ce cela réussir sa vie?

  • La mise en pratique.
  • L’exercice du cœur en temps réel, (la méditation n’étant que les gammes) et la confrontation avec notre égo.

La spécificité de notre incarnation sur terre est la projection en trois dimensions de tout ce que nous sommes à l’intérieur et que nous ignorons.

 

Que ce soit nos ombres ou nos lumières, nous les projetons à l’extérieur sous forme de situations, de relations ou de personnes avec lesquelles nous entretenons un lien afin de les « travailler » , de les conscientiser, de les aimer et de les unifier en nous.

 

Quelle merveilleuse mise en scène qu’une relation avec ou sans enfants pour nous révéler tout ce que nous pensions avoir déjà nettoyé ? A l’aube de ce 21 ème siècle, nous avons le choix de vivre en société et en partenariat avec les autres non pas pour survivre comme au début de l’humanité mais pour s’éveiller ensemble.

 

Si du point de vue de l’esprit, nous sommes les multiples facettes d’un tout, alors nous détenons tous un morceau d’unité que nous pouvons partager, échanger afin d’agrandir notre vision et notre réalisation.

 

Pourquoi réussir sa vie seul quand l’autre a justement ce qui me fait défaut ? Chacun a la place où il excelle en inter-dépendance et co-création avec le reste de l’humanité. On peut rêver, n’est-ce pas?

Conclusion

 

Et pourtant ce sujet est au cœur de notre actualité. Sur le plan économique la Chine ne cesse d’allonger des fonds afin d’éviter un effondrement de l’économie mondiale avec ce singulier adage :

A quoi cela nous sert-il d’être les maîtres du monde si nous sommes tout seuls à jouer dans la course ? »

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La Thaïlande vous intéresse? Voyez cet article, au pays des bouddhas


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