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Juin 22

Amour inconditionnel : etes vous vraiment honnete en amour ?

amour inconditionnel 32Demander et l’amour inconditionnel

 

Il ne faut pas demander. C’est l’info que vous recevez petit. Ce sont les parents qui décident, tout doit venir à vous, il ne faut rien demander.

 

L’amour  inconditionnel (supposé) a une condition: apprendre à ne pas avoir de besoins.

 

Au départ, il est sous entendu : « ne te roule pas devant les caisses du magasin, si je veux t’acheter un bonbon je le ferai mais tu ne dois pas demander ».

 

Pourquoi pas finalement puisqu’il est inclus dans les gènes maternels que la mère a une montée de lait quelques minutes avant que son bébé ait faim.

 

Si elle est totalement en osmose avec son bébé, elle devine ses besoins avant qu’il ait le temps de faire des demandes. C’est effectivement ce qui lui est proposé: l’amour inconditionnel.

 

Seulement voilà, cela nécessite de la mère une totale présence à ce qu’elle ressent. Malheureusement ce n’est pas toujours le cas.

 

Entre ses soucis au travail, vos frères et sœurs, ses contrariétés familiales et sa relation de couple, maman, n’est pas toujours présente.

 

Il ne faut pas demander, certes, mais si vous attendez que ça vienne, ça risque d’attendre encore longtemps!.

 

Vous grandissez avec cette double injonction : « Je vais m’occuper de toi, tu n’as pas à demander » et « débrouille toi tout seul si tu vois que je ne suis pas disponible ».

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Il est normal que dans votre vie d’adulte vous ayez gardé quelques stigmates de l’enfance : ce n’est pas bien de demander.

 

Vous transposez dans vos relations affectives l’adage, « tu dois savoir mieux que moi ce qui est bon pour moi et je ne devrais pas avoir à te demander ».

 

Le « bazar relationnel » commence. Contrairement à l’idée reçue, en tant qu’adulte, si vous avez un besoin, vous devez l’exprimer. L’amour inconditionnel de l’autre ne passe pas par répondre à vos besoins sans que vous ayez à les formuler.

 

L’autre n’est pas devin, il doit déjà gérer ses besoins, il n’est aucunement responsable de la satisfaction des vôtres.

 

Que se passe t-il si vous ne faites pas de demandes ?

 

Vous supposez que l’autre sait, doit savoir et, sous prétexte de ne pas l’importuner avec votre demande, vous êtes dans l’exigence tacite qu’il sache ce dont vous avez besoin.

 

S’il ne répond pas à votre besoin non formulé, vous êtes soit dans le reproche, soit dans un repli stratégique. On est toujours très loin de l’amour inconditionnel!

 

Résultat, maintenant qu’il connaît votre besoin puisque vous lui avez jeté à la figure, il va l’honorer dans un compromis affectif parce qu’il ne veut pas être abandonné ou mal aimé.

 

Il ne le fera d’ailleurs qu’à moitié parce qu’il ne se sent pas libre de ses choix et de son timing. Vous retrouverez la vaisselle ébréchée et vous déciderez que vous le faites mieux toute seule.

 

Si vous êtes claquemuré dans un coin parce que votre besoin non-dit n’est pas satisfait, il va se culpabiliser ou s’en ficher et cela fera de lui un être parfaitement égoïste à vos yeux.

 

Tout cela pour ne pas avoir exprimé votre souhait ou votre besoin. La facture est salée au bout du compte!

 

Ne pas nommer ses besoins, ce n’est pas du soin pour ne pas embêter l’autre, c’est ne pas être honnête ! Il y a toujours un risque : que l’autre dise non ! Au moins vous savez à quoi vous en tenir. Dans l’amour inconditionnel, vous ne pouvez pas vous attendre à avoir toujours des « oui »!

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Si, au contraire, vous faites une demande claire, vous apprenez à vous mettre dans l’énergie du plaisir d’être aidé et soutenu.

 

Plutôt que de disparaître dans les lattes du parquet quand vous avez un service à demander, faites comprendre à votre ami(e) que cela vous ferait grand plaisir que ce soit lui ou elle qui vous donne un coup de main.

 

Vous offrez ainsi à l’autre une chance d’exercer sa générosité ou sa franchise s’il ne peut pas. Vous vous apprêtez à vivre le plaisir de recevoir. Par contre, vous devez aussi vous attendre à un refus possible.

 

L’amour inconditionnel ce n’est pas tout recevoir

 

Voici une petite histoire sur donner et recevoir. A méditer pour entretenir une bonne relation avec soi-même: une histoire de don et de réception. Vous verrez que l’amour inconditionnel, ce n’est pas toujours ce que vous croyez.

 

Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable d’affronter n’importe quel adversaire.

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Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair.

 

Ce jeune et impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.

 

Il se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues – y compris à ses ancêtres. Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.

 

Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :

 

« Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?

 

-Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda la samouraï.

 

-A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
– Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son coeur. « 

 

 

Contrairement à toute attente, c’est aussi cela l’amour inconditionnel. Le maître est dans l’acceptation de ce qui est : quelqu’un qui l’insulte, c’est ce qui est.

 

Pas besoin de se battre avec la réalité de l’instant. Il y a toujours une confusion lorsqu’il est question de dire oui à tout.

 

Vous avez l’impression qu’il faut tout accepter, tout encaisser sans riposter. Si vous avez besoin de réagir ou de vous défendre, c’est que vous vous êtes pris pour le centre de la cible.

 

En ne réagissant pas, il laisse son adversaire s’exprimer, donc il se donne par la même occasion le droit d’exister aussi.

 

Attention, le maître ne se ferme pas, il reste ouvert à un échange possible même si le monologue ne le permet pas.

 

Cette permission, à elle seule, rend la relation fluide. Le seul détail c’est qu’il n’est pas obligé de recevoir ce qui lui est donné.

 

Transposez cela dans vos relations familiales : êtes-vous bien certain(e) de donner à l’autre le droit d’exister même si son point de vue est différent du vôtre ?

 

N’êtes-vous pas tenté de « secouer » un peu les membres de votre famille lorsque leur comportement vous insupporte ?

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Et vos enfants, prenez-vous le temps d’accepter totalement ce qu’ils manifestent avant de leur proposer une stratégie plus adéquate  « selon vos critères »….hérités du système de valeurs de…vos parents…ou de l’inverse de vos parents !

 

Amour inconditionnel ou syndrome de la mère juive

 

« Après tout ce que j’ai fait pour toi »

 

Certains parents sont sur-protecteurs. Ils ont l’impression qu’une fois qu’ils ont endossé leur rôle de parent, leur vie ne leur appartient plus. Ils sont, selon eux, entièrement dévoués à la cause de leur enfant.

 

Ils veulent que leurs enfants les appellent parce qu’ils s’inquiètent lorsqu’ils sont à l’étranger. Il faut leur téléphoner dès qu’on est rentré même si c’est à trois kilomètres de leur maison.

 

Ils passent 3 heures chaque soir à faire réciter les devoirs. Bref, ils en font toujours trop, et tout le temps. Il est impossible de repartir de la maison sans emporter un panier de victuailles.

 

La « mère juive » attend que son enfant rentre, même s’il a plus de vingt ans avant d’aller elle même se coucher.

 

Vous connaissez tous cette caricature du parent concerné qui vous demande encore à trente ans ce que vous avez mangé et vous donne des conseils de séduction pour votre rendez-vous galant.

 

Ils culpabilisent leurs enfants de ne pas faire ce qu’ils demandent et se plaignent de ne pas avoir assez de nouvelles.

 

Le plus terrible c’est qu’ils sont persuadés que l’amour c’est avoir peur pour l’autre.

 

Pourtant, la réalité est toute autre : la peur qu’ils ressentent à l’idée qu’il pourrait arriver quelque chose à leur enfant est complètement projective et leur appartient.

 

C’est la forme qu’ils ont donné à leur angoisse et qu’ils font peser sur leurs enfants. Au fond d’eux bien sur, ce sont leurs propres peurs d’enfant et vous savez maintenant que, grâce à la technique Tipi, ces peurs peuvent même dater de leur vie intra-utérine.

 

Avec leurs incessantes questions, ces mères ou pères semblent vraiment attentionnés. Ils seraient mortifiés s’ils acceptaient l’idée que aimer ce n’est pas se faire du souci.

 

Dans la réalité, que fait ce parent ? Il fuit souvent ses propres ressentis et s’absorbe totalement dans l’autre, son fils ou sa fille.

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Il n’arrête pas de donner des conseils, des directions, bref, tout ce qu’il n’a pas reçu. Il se répare mais, ce faisant, il passe à côté de son enfant.

 

Il ouvre le placard de ses frustrations d’enfant et déverse sur sa progéniture tout ce qui lui aurait fait plaisir à lui.

 

Lorsque c’est le cas, les enfants s’arrangent pour aller vivre à mille kilomètres de leurs parents qui ne comprennent pas pourquoi tout à coup cette distance.

 

Les enfants, de leur côté, attendent désespérément que l’on s’adresse à eux véritablement. Ils se sentent envahis par des objets, de la nourriture ou des recommandations qui ne parlent pas d’eux.

 

Ils revendent sur ebay les cadeaux de Noël qu’ils reçoivent et qui ne correspondent pas à leur goût. A croire qu’ils n’ont pas vécu sous le même toit. Ils s’étonnent que leurs parents en sachent si peu sur eux.

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Alors est-ce véritablement du don ? En apparence oui mais ce parent n’est pas vraiment honnête. Il cache sous le tapis de l’amour et de l’affection son mal-être personnel qu’il n’ose affronter.

 

Cet amour qui se veut inconditionnel coûte cher : en agacement pour l’enfant, en incompréhension pour le parent qui ne saisit pas pourquoi il vit le rejet…après tout ce qu’il a fait pour ses enfants !

 

Et le cycle continue, vous faites à vos enfants l’inverse de ce que vous avez reçu de vos parents pour être certain de ne pas les faire souffrir.

 

Ce faisant, vous leur donnez la vie que vous auriez aimé avoir mais pas forcément celle dont ils ont besoin et dont vous ignorez tout.

 

Vous les sécurisez là où ils auraient besoin d’être houspillés. Vous les négligez là où ils auraient vraiment besoin d’aide.

 

Les parents rigides font des enfants baba-cools qui ne veulent pas leur ressembler. Les soixante-huitard font des futurs PDG hyper responsables en costume trois pièces. Les super sérieux font à leur tour des enfants fainéants qui ne s’inquiètent pas pour leur avenir.

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Les conflits de génération se perpétuent au nom de l’amour qu’on croit donner. Les parents disent « avec tout ce que j’ai donné » et les enfants répondent « je n’ai rien reçu qui parle de moi ».

 

N’allez pas imaginer que cela ne concerne que les conflits de générations. Vous n’êtes pas à l’abri de succomber au syndrome de la mère juive dans une relation de couple !

 

L’amour humanitaire ou amour inconditionnel

 

 

Je ne cherche pas à culpabiliser les parents. Il y a de fortes chances que vous vous reconnaissiez en tant que fils ou fille de vos parents ou dans le modèle d’éducation de vos enfants.

 

Mon intention est simplement de clarifier ce que vous prenez pour de l’amour, voire de l’amour inconditionnel afin d’être plus conscient(e) des enjeux cachés dans les relations.

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Derrière l’amour inconditionnel, on sous-entend souvent les œuvres humanitaires. Qui n’a pas rêvé d’aller donner un coup de main pour la construction d’une école au Vietnam ou faire bénévolement une campagne de vaccinations au cœur d’un village africain ?

 

C’est effectivement un remarquable don de soi. Avant d’aller offrir votre cœur à des inconnus, vérifiez d’abord si vous avez réussi à instaurer des relations fluides autour de vous et avec vos proches.

 

En tant que parents, vous pouvez aussi sans le savoir, projeter l’amour inconditionnel à l’extérieur de votre foyer.

 

C’est le cas pour les métiers du soin médecins, infirmières… de l’éducation, des métiers d’aide comme assistante sociale, leader spirituel etc…

 

Vous passez un temps infini à vous occuper de soigner les autres, à leur apporter de l’attention, à éduquer la terre entière.

 

Êtes-vous vraiment capable, cependant, de vous rendre compte de la misère affective ou de la souffrance des êtres qui vivent sous votre toit ?

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Que vit un enfant qui voit son parent s’occuper mille fois mieux des autres que de lui-même ? Pourquoi est-ce si difficile de s’entendre avec ses parents ou avec ses enfants ?

 

Parce que les enfants portent les mémoires inconscientes et les conflits non résolus de leurs parents.

 

Ce n’est pas toujours agréable d’avoir à la maison un rappel de vos propres souffrances d’enfant, surtout si vous cherchez à les oublier !

 

Vous êtes vous aussi porteurs de l’inconscient de vos parents, celui dont ils n’ont pas toujours pris le temps de s’occuper.

 

Vous portez leurs deuils non faits, leurs espoirs anéantis, les blessures qu’ils cachent, sans compter leur insécurité et leurs peurs.

 

Pas facile la vie de famille !

 

Je vous propose à ce sujet une petite vidéo qui nous vient d’Asie, dans des contrées où le culte des parents et des ancêtres est une valeur indestructible.

 

 

 

Je ne vous en dis pas plus, c’est bourré de bons sentiments sur le don, l’altruisme, les bonnes œuvres et l’amour inconditionnel pour son prochain.

 

Je vous demande juste de la regarder au second degré, même si au premier degré, vous êtes touché. Cherchez où est le bazar !

 

Vous pouvez essuyer votre petite larme. Je ne remet pas du tout en cause l’amour inconditionnel du brave petit papa.

 

Par contre, il me semble qu’en tant que père, bien qu’éducateur de bonnes valeurs, il soit légèrement à l’ouest.

 

Il n’a pas l’air de se rendre compte de la morosité de son fils. S’il y a bien une chose qu’il n’a pas réussi à lui transmettre, c’est l’amour.

 

Laisser grandir son fils dans une forme de mépris et de haine sans avoir une véritable conversation n’est pas la preuve d’une éducation réussie. La vidéo commence ainsi :

 

 » Je n’aimais pas mon père, Il était pauvre et looser. Il ne faisait que bosser comme un malade pour récolter des fonds, je ne le trouvais pas intelligent. »

 

De toute évidence, l’amour ne règne pas dans le foyer. Il y a un parti pris contre l’enfant ingrat.

 

A quoi cela sert-il de découvrir un homme vertueux après sa mort ? A le rendre un peu plus coupable de ne pas avoir été capable de rentrer en relation avec son père ?

 

C’est certain que ce père aime son enfant, peut-être même d’un amour inconditionnel comme celui qu’il porte à tous les autres enfants de la terre.

 

Mais à quoi bon puisque son fils ne le sent pas ! Les bonnes oeuvres ne peuvent pas se substituer aux difficultés relationnelles de la maison.

 

Je passe sous silence la violence qui lui est faite lorsqu’il découvre le billet « tu seras un grand homme » et comprends qu’il ne s’adresse pas à lui !

 

Sans chercher à donner des leçons de catéchèse, ce concept de la veuve et de l’orphelin à protéger ne me semble pas non plus à prendre au premier dégré.

 

Il est plutôt question de l’orphelin en vous ! Cette partie de vous-mêmes qui ne s’est pas sentie épaulée par un parent et que vous ne voulez pas rencontrer.

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La veuve et l’orphelin sont les parties souffrantes et miséreuses de votre être dont vous ne voulez pas entendre parler ! Quant à les aimer….

 

Alors, toujours aussi tranché dans « il vaut mieux donner que recevoir ? ». Il ne suffit pas de donner mais plutôt de savoir dans quel état !

 

Lorsque vous donnez ce que vous aimeriez recevoir, n’êtes-vous pas en train de noyer votre frustration dans le don ?

 

N’êtes-vous pas en train d’éviter de faire une demande ? Est-ce que ce que vous donnez est bien ce dont l’autre a besoin ?

 

Si vous êtes aux prises dans votre famille avec:

 

  • un(e) conjoint(e) exigent(e)
  • un parent ingérant et envahissant
  • un enfant ingrat ou qui vous repousse

 

Ce n’est pas le moment de prendre une grande respiration et de sortir votre cape d’amour inconditionnel sous peine de l’encourager dans son fonctionnement.

 

1°) Tout d’abord, sentez l’agacement, la peur ou la tristesse vous gagner

2°) Ne faites pas comme si de rien n’était, ce ne serait pas honnête

3°) Nommez votre difficulté si cela est possible ou quittez la scène du drame pour vous recentrer.

4°) Lorsque vous êtes à l’abri, écoutez votre petit « moi » qui souffre ou s’agace et demandez-lui ce qu’il aimerait vivre à la place.

5°) Si c’est de la douceur, de l’échange, du partage, du respect qu’il demande, offrez-lui en. Soyez une bon parent pour ce petit « moi » en difficulté.

6°) C’est aussi le moment de pratiquer un peu la méthode Ho’oponopono si vous voulez commencer à nettoyer la mémoire qui se met en travers de vos relations proches.

7°) C’est là que commence l’amour inconditionnel : envers vous-même. Quel que soit l’état du petit « moi », acceptez-le sans le juger.

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Il y a de fortes chances pour que vos relations avec les autres s’améliorent. Ils sont là pour vous montrer à quel point il est difficile de s’aimer soi-même.

 

Comment pouvez-vous envisager d’avoir des relations fluides honnêtes avec vos proches si vous ne commencez pas par vous-mêmes ?

 

Je vous propose, pour clôturer ce chapitre sur l’amour inconditionnel et la vision limitée que vous en avez parfois, de regarder une toute petite vidéo qui ramène l’amour à sa juste place dans le monastère. Désolée pour la pub ;-(

 

Qui donne et qui reçoit ? Y a t’il vraiment une différence si fondamentale entre les deux ? L’amour inconditionnel ne tient pas les comptes!

 

Et vous, êtes-vous à l’aise avec demander? Donner? Recevoir ?Laissez un commentaire

 

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