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Déc 14

Comment j’ai rate l’avion en faisant Ho’oponopono

Ho'oponopono 1Petit rappel sur Ho’oponopono

 

Vous m’avez manqué.

Bien sur que je ne vous avais pas oublié depuis cette rentrée mais j’étais très occupée avec mes élèves de la formation de couleurs. Les couleurs, c’est ma spécialité (avec Ho’oponopono).

 

C’est la première fois que je fais à distance ce que j’ai l’habitude de faire en présentiel et j’avoue que j’ai été ravie de l’expérience.

 

Découvrir de nouveaux horizons, de belles personnes et sortir de ma zone de confort, rien de tel pour amuser mon ascendant gémeaux.

 

Entre temps, la vie m’a fait le bonheur de sortir mon livre sur Ho’oponopono en librairie et c’est encore un flot de cadeaux qui m’est arrivé grâce à vos commentaires. (Cliquez sur l’image)

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J’ai pris conscience ce matin, au beau milieu de la mer (je me baigne avant le petit déjeuner) pourquoi j’aimais tant Ho’oponopono et ça ne m’a pas fait plaisir du tout ! Je vous en parle en fin d’article.

 

Si vous me suivez depuis quelques temps (voire des années), vous connaissez maintenant les 4 phrases magiques de cette merveilleuse technique :

 

  • Je suis désolée
  • S’il te plaît, pardonne-moi
  • Je te remercie
  • Je t’aime

 

Si vous avez lu mon livre, vous savez maintenant qu’il existe des subtilités si vous voulez que cela vous aide vraiment à révolutionner votre vie. Le passage clé bien entendu étant « je te remercie ».

 

Dans cet article, je vais vous montrer en détail comment vous pouvez utiliser Ho’oponopono toute la journée pour nettoyer vos mémoires et alléger considérablement votre chemin.

 

Je vous expliquerai aussi pourquoi Ho’oponopono ne m’a été d’aucun secours pour venir à bout de l’obstacle principal que représente le marketing sur internet pour moi aujourd’hui.

 

Ho’oponopono au quotidien

 

1°) La raison première pour laquelle j’ai écrit ce livre, c’est parce que j’avais du mal à mettre en place une formation antistress sur le net avec Alain.

 

Le travail me paraissait démesuré, j’avais 14 nouveaux métiers à apprendre en passant du marketeur au spécialiste en montage vidéos.

 

J’ai une technique spéciale que j’utilise pour mes clients lorsqu’ils sont confrontés à un objectif difficile à atteindre. Je me suis dit que ça me ferait du bien de l’utiliser sur moi-même mais ça ramait beaucoup.

 

J’avais du mal à progresser vers notre objectif commun et je n’arrivais à stabiliser aucune étape.

 

Alors que je revenais une nouvelle fois à mon point de départ, une intuition fulgurante m’a traversé : « tu n’y arrives pas parce que tu as autre chose à faire ! Laisse Alain faire cela, le stress c’est son truc».

 

J’ai donc posé la question qui tue : « Bon, d’accord, qu’est ce que je dois faire alors ? »

 

Et la réponse a claqué dans ma tête, « Tu vas écrire un livre sur Ho’oponopono ». Ça s’est passé tel quel.

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Dans ces cas là je ne pose pas de questions supplémentaires …je me suis mise à la tâche. J’étais à peu près certaine que ce n’était pas une décision de mon égo !

 

2°) La seconde raison, c’est parce que je l’utilise tous les jours, parfois une fois par heure, parfois pendant une demi-heure d’affilée… Il ne faut pas être frileux avec Ho’oponopono, les occasions ne manquent pas.

 

Si cette technique hawaïenne n’est pas un réflexe pour vous, je vais vous montrer comment je l’utilise au quotidien, cela vous donnera peut-être des idées d’application auxquelles vous n’aviez pas pensé.

 

Prenons par exemple mon départ en Thaïlande qui était tout sauf fluide (ça arrive).

 

Les peurs mentales avec Ho’oponopono

 

A Lyon où nous prenions l’avion, une heure avant l’enregistrement, nous étions aux petites heures du matin devant une annexe du parking de l’aéroport sans âme qui vive.

 

Un fond d’agitation par rapport au timing a commencé à m’agiter. Pas grand chose mais assez pour que je le reconnaisse.

 

Ça me fait rire les gens qui me disent qu’ils n’ont pas de peur : je me dis ou bien ce sont des super héros ou bien…ils ne sentent peut être pas finement ce qui s’agite en eux !

 

J’ai immédiatement récité les 4 petites phrases. Je nettoyais ma difficulté à rester totalement dans le présent.

 

Pourquoi nettoyer me direz-vous, pourquoi ne pas attendre que ça se calme lorsque j’aurai téléphoné pour savoir ce qui se passe ?

 

Je pourrais bien sur poser un acte (c’est à dire téléphoner dans ce cas-ci) immédiatement sans tenir compte de ce qui s’élève en moi mais je suis persuadée que l’état dans lequel on pose les actes modifie le résultat.

 

SI vous plantez une graine de pommier, vous obtiendrez immanquablement un pommier. Si vous plantez une graine de stress (même s’il s’arrête dès que vous serez rassuré), le fruit qu vous obtiendrez sera du stress.

 

C’est une croyance c’est sur (donc je vais la nettoyer).

 

J’ai préféré téléphoner en étant redevenue paisible et grand bien m’a pris car mon interlocuteur m’annonce au téléphone qu’ils ont changé d’adresse et qu’il ne comprend pas que nous n’ayons pas été prévenus.

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Lyon c’est grand et la géométrie dans l’espace n’est pas ma tasse de thé. Je refais un petit tour de Ho’oponopono car une autre croyance s’est élevée : « ça ne va pas être facile à trouver ».

 

Alors qu’ai-je mis dans ma première prière Ho’oponopono?

 

Je vous la détaille pour bien vous expliquer comment est conçue cette prière mais vous n’avez pas besoin de donner tous ces détails si vous êtes bien conscient(e) que votre agitation est liée à une mémoire.

 

Si vous pensez qu’il est normal de stresser la première fois que vous êtes face à un parking d’aéroport fermé alors qu’il devrait être ouvert, alors nous allons avoir du mal à nous comprendre !

 

  • Ou alors cela vous arrive régulièrement que les personnes qui sont censées vous aider vous zappent et vous savez que c’est une mémoire que vous portez…

 

  • Ou alors c’est la première fois et donc rien ne vous a jamais prouvé qu’on pouvait vous oublier (surtout quand c’est urgent comme une heure avant l’enregistrement) donc vous n’avez aucune raison de stresser.

 

Si vous stressez malgré tout, je suis au regret de vous annoncer que c’est une mémoire…

 

Voilà donc pourquoi j’ai rajouté ces ingrédients à la prière, moi, je sais que j’ai une mémoire à cet endroit là! Voici donc ce que ça a donné :

 

  • Je suis désolée, je ne savais que j’avais encore une mémoire qui vibre à l’abandon, l’oubli, la transparence, la non existence.

 

  • Pardonne-moi de stresser pour un détail en 2015 alors que tu me parles d’une mémoire beaucoup plus ancienne que tu aimerais que je t’aides à nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer au travers de ce scénario d’oubli et d’absence à quel point il est urgent que je continue à nettoyer car la mémoire semble encore active.

 

  • Je t’aime.

 

Si vous n’avez aucune idée de ce qui se joue, « je te remercie je t’aime » envoyé à la situation problématique peut très bien faire l’affaire aussi.

 

Mais continuons ce départ en Thaïlande où j’ai à peine grossi l’activité de mon mental pour que vous puissiez vous détendre avec le votre ! Pendant que vous vous moquez avec moi du mien, vous rentrez dans une acceptation du votre.

 

Finalement, nous sommes conduits à l’aéroport et j’aperçois un petit chiot dans les bras d’un enfant à l’aéroport.

 

Les pensées parasites avec Ho’oponopono

 

Mon mental me sert alors une pensée concernant les petits barzoïs qui nous restent à caser à notre retour de Thaïlande.

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Il s’inquiète de ne pas pouvoir trouver un maître à chacun. Sachant que cette pensée n’a rien à faire avec le départ, je nettoie la pensée parasite. (Ho’oponopono sert aussi à cela).

 

Ces adorables petits chiots me mettent en transe chaque fois que la pensée m’arrive un peu comme les parents Poucet qui vont devoir abandonner leurs enfants parce qu’ils ne peuvent pas les nourrir.

 

En passant, Charles Perrault nous prend un peu pour des demeurés. Depuis quand abandonner ses enfants dans la forêt va faire en sorte qu’ils soient mieux nourris ?

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Mais vous l’avez bien compris, un fond de mémoire d’abandon doit venir se coller sur les petits chiens qui vont devoir un jour quitter la maison….et m’abandonner.

 

  • Je suis désolée, je n’avais pas vu que cette mémoire d’abandon venait prendre la forme des petits chiens

 

  • Pardonne-moi de stresser en 2015 pour les petits chiens alors que tu me parles d’une mémoire ancienne qu’il serait encore bon de nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer au travers de cette pensée parasite à quel point j’ai encore besoin de nettoyer ma mémoire d’abandon.

 

  • Je t’aime.

 

Les jugements avec Ho’oponopono

 

C’est l’heure de s’enregistrer. L’hôtesse qui nous enregistre ne veut pas acheminer les bagages jusqu’à leur destination finale.

 

Sachant que nous n’avons qu’une heure quinze pour assurer le transfert à Bangkok, mon mental sait déjà que ça va être chaud pour récupérer les bagages et ne pas rater l’avion.

 

Pour déstresser, il se met à juger silencieusement l’hôtesse qui ne fait pas son boulot.

 

Un jugement ? Super ! Encore du boulot pour Ho’oponopono. Pas besoin de savoir ce qui se joue (même si j’ai ma petite idée pour nettoyer).

 

Pourquoi je nettoie cela ? Parce que mon mental aurait tendance à dire : « c’est moi qui vais devoir assumer la responsabilité de rater l’avion alors que c’est à cause d’un responsable qui ne fait pas bien son boulot ».

 

Lorsque vous entendez cela à l’intérieur, c’est le mental qui tient le discours de l’égo. Si vous y croyez, vous n’êtes pas prêt(e) de trouver la paix intérieure !

 

Ho’oponopono me rappelle que le « responsable » qui ne fait pas son boulot et le « je vais devoir payer ses erreurs » est une mémoire que je porte, il est donc normal qu’elle se mette en scène sur mon chemin !

 

Pour que je la voie et que je la nettoie !

 

L’avion n’en finit pas de mettre du temps à se remplir, nous avons déjà 40 minutes de retard. Mon mental me ressert une raison de plus pour rater l’avion lors du transfert et en plus une dans laquelle je n’y suis pour rien.

 

Eh si, encore une mémoire… « je suis désolée… »

 

En passant je nettoie une petite exigence dans l’avion parce mon mental trouve qu’ils ne servent pas assez d’eau.

 

Une fois la paix revenue, je m’aperçois que non seulement on peut se servir à l’arrière de l’avion mais que régulièrement ils proposent des encas sympas, des glaces etc…

 

Un peu de paix dans les mémoires…

 

Après avoir bien nettoyé ce démarrage sur les chapeaux de roues, nous nous retrouvons assis à côté du steward.

 

Pour une fois nous sommes dans une compagnie française et je mesure la sympathie du personnel auquel nous sommes peu habitués d’ordinaire.

 

Le steward nous raconte sa vie sur une île en Thaïlande (pas loin de là où on va) où sa petite famille a déménagé.

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Comme c’est un peu notre rêve, nous sommes toute ouïe. C’est la trêve des mémoires pendant 12 heures de vol, (les mémoires phobiques de l’avion ont été décimées avec la technique TIPI)

 

C’est l’arrivée à Bangkok, malgré les multiples Ho’oponopono, l’avion a gardé son retard et nous ratons l’avion suivant !

 

C’est le moment de s’y remettre car je sens un vague sentiment d’injustice à rater l’avion parce que l’hôtesse a mal fait son boulot d’enregistrement (c’est vrai finalement, le steward confirme) et que l’avion a eu 40 minutes de retard.

 

Nettoyer ses croyances avec Ho’oponopono

 

Au milieu du nettoyage, je m’aperçois que ce qui m’agite d’un côté c’est la croyance que c’est grave de rater un avion alors qu’une autre partie de moi ne ressent rien de particulier.

 

Je décide de nettoyer la croyance que rater c’est grave . Je suis désolée…c’est juste ce qui est. En quelques secondes la paix revient. Et l’avion suivant aussi.

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Nettoyer une mémoire de l’humanité avec Ho’oponopono

 

Une hôtesse thaïlandaise nous escorte pour le transfert mais se fait rattraper par une mémoire à elle !

 

Un responsable haut placé des bagages arrache le badge de cette dernière pour pouvoir se plaindre à sa compagnie car elle a osé demander pourquoi nos bagages devaient subir un énième scan et pas ceux des autres.

 

Une scène de violence en Thaïlande, c’est hyper rare, voire impossible. Je pourrais me dire que ça ne me concerne pas mais je suis touchée par la malveillance de l’autorité.

 

Donc ça c’est ma mémoire : assister à une forme de maltraitance physique et verbale. Si je ne nettoie pas, je me mets en empathie avec la tristesse refoulée de l’hôtesse qui doit composer avec nous.

 

  • Je suis désolée, je n’avais pas vu que tu portais une mémoire de violence entre les hommes et les femmes.

 

  • Pardonne-moi de m’apitoyer sur une scène en 2015 alors que tu me montres une vieille mémoire qu’il est important de nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer, au travers de cette violence à laquelle j’assiste et réagis à quel point  j’ai besoin de nettoyer la violence entre les hommes et les femmes et le désir de me positionner en sauveteur.

 

  • Je t’aime

 

A l’arrivée, j’étais déjà en train de nettoyer une vieille autoroute neurale qui disait « il n’y aura personne pour t’accueillir à l’arrivée » lorsque j’ai aperçu le staff et la camionnette de notre hôtel.

 

Fatiguant me direz-vous !

 

Oui mais tellement réaliste. Si vous ne connaissez pas bien les autoroutes neuronales de votre mental, je vous suggère de tendre l’oreille à vos pensées et de commencer à nettoyer, vous allez voir qu’il y a du boulot !

 

Si vous voulez en lire plus sur Ho’oponopono, je vous retrouve chez mon éditeur pour des précisions que vous ne lirez dans aucun autre livre sur Ho’oponopono d’où son nom : « la face cachée ».

 

Ho’oponopono et gratitude

 

Pour en revenir à ce matin au bain, j’étais en pleine contemplation de nuages qui s’amusaient librement dans l’air pendant que je flottais tout aussi librement assez loin de la plage de façon à ne plus apercevoir un seul morceau de terre que l’île en face (celle du steward).

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Je me demandais pourquoi j’avais tant de mal avec le marketing. Malgré tous mes nettoyages, me « vendre » ou vendre mes formations reste un exercice qui ramène du malaise.

 

Je me demandais comment font tous ces marketeurs à qui tout réussit même s’ils sont loin d’être alignés. La réponse est arrivée sans fracas mais j’ai d’abord eu du mal à la comprendre.

 

  •  » Ils sont sans doute plein de gratitude pour ce qu’ils vendent » !
  •  ?  (J’aurais presque fait répéter la petite voix dans ma tête…)  et je me suis répondu: mais non ce sont des commerçants, la plupart ne font même pas de travail sur eux…
  • « Ils sont sans doute plein de gratitude pour ce qu’ils vendent » !

 

Là j’ai compris. Ce que j’aime dans Ho’oponopono, c’est qu’il m’est facile d’avoir de la gratitude pour ce qui est difficile. Vous saisissez ?

 

Je passe ma journée à remercier des mémoires même pénibles, des épreuves, des soucis, des ennuis, des dysfonctionnement etc…

 

Et ça marche très bien. Le peu de stress qui s’installe (vous l’avez vu dans l’article) est si vite nettoyé que la paix revient rapidement.

 

Par contre, quand ça va bien , je le prends pour acquis.

 

Ce qui me permettait de contempler cela c’était la sensation d’être libre dans l’eau. Je pars de loin…

 

Petite, j’ai failli m’étouffer dans la piscine lors d’une compétition de natation. Pendant les années qui ont suivi j’ai développé une allergie à l’eau même celle de la douche !

 

Je ne pouvais pas me baigner là où je n’avais pas pied. Dans l’eau, j’étais dans la survie. Chaque seconde, (même si ce n’était pas conscient) était utilisée à maintenir la tension pour rester en vie et de ne pas me noyer.

 

Après de nombreux TIPI (technique d’identification des peurs inconscientes) et de longues séances de thérapie quantique, je pouvais goûter enfin à la plénitude d’être seule au beau milieu de l’eau avec pour seule sécurité mon corps qui flotte.

 

Après toutes ces épreuves (liées à l’eau et à la peur de mourir), la gratitude était une véritable bouffée d’amour pour la vie à laquelle je pouvais accéder (je l’avais mérité).

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Mais voilà, pour ce qui est facile, ce qui m’est donné et ne m’a couté aucun effort, j’oublie de pratiquer la gratitude, je prends tout pour acquis !

 

J’écris sur Ho’oponopono parce que c’est une technique facile pour moi mais je ne dois pas oublier d’apprendre à faire ce que les autres savent déjà : me réjouir de ce qui va bien ! Remercier pour tout ce qui m’est donné et ne me coûte rien en souffrance !

 

Je me demandais par la même occasion, pourquoi je suis parfois activée par l’univers des Chrétiens Charismatiques. Une mémoire bien entendu puisque je suis activée.

 

Je les ai beaucoup côtoyés car j’aime leur joie enfantine et leur foi intense.

 

Ils sont plein de gratitude pour leur Sauveur et plein de méfiance (ou de défense) pour ce qu’ils appellent le diable. C’est la totale dualité (in my opinion).

 

Chez Ho’oponopono, il n’y a pas besoin de diable, juste des mémoires mal aimées et notre job c’est justement de les aimer, d’où la phrase finale

 

 » je t’aime  »

 

Finalement je sais pourquoi ils m’activent : je ne suis pas vraiment différente d’eux, juste inversée : j’aime les mémoires et j’ai du mal à aimer ce qui va bien.

 

Alors, pour en revenir au marketing, si je veux vendre quelque chose, il serait bon que j’apprenne à avoir beaucoup de gratitude pour tout ce que je suis capable de donner même si c’est facile pour moi.

 

C’est vous qui me faites tous ces merveilleux retours et c’est de vous que j’ai à apprendre à faire cela aussi.

 

Ainsi, nous sommes dans un bel échange. Si j’ai tout compris, pour se vendre, il faut s’aimer soi-même, c’est bien cela ?

 

Alors, pour conclure, quand faire Ho’oponopono ?

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  • Chaque fois qu’une situation vous agite et que vous ne retrouvez pas instantanément votre paix intérieure

 

  • Chaque fois que vous donnez raison à un jugement

 

  • Chaque fois que c’est la faute de l’autre (chaque fois que l’autre fait mal son boulot ;-))

 

  • Chaque fois que vous avez une pensée récurrente qui n’a rien à voir avec la situation.

 

  • Chaque fois que vous prenez trop à cœur une situation en disant « je suis trop sensible » ou « je suis une véritable éponge ».

 

  • Chaque fois que vous êtes prêt à diaboliser quelqu’un ou quelque chose

 

  • Chaque fois que vous dites « c’est inadmissible et intolérable »

 

Et je pourrais allonger indéfiniment la liste.

 

Vous avez vu aussi que faire Ho’oponopono peut

 

  1. régler instantanément la situation
  2. la régler en partie
  3. ne pas la régler du tout (oui on peut rater l’avion en faisant Ho’oponopono)

 

Dans ce dernier cas, si vous persévérez, restez à l’écoute de votre intérieur car un élément de réponse va vous être envoyé comme cette phrase que j’ai reçue à propos du marketing et qui a généré cet article.

 

Ou bien comme cette double sensation de voir la croyance que rater l’avion c’est grave et sentir une autre partie de moi qui était tout à fait ok avec rater l’avion.

 

Vous allez apprendre avec Ho’oponopono à sortir de vos idées reçues sur comment régler un problème. Parfois rater l’avion est la bonne solution !

 

Et vous, que vous inspirent ces réflexions sur Ho’oponopono ? Laissez un commentaire !

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