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Avr 28

Psychologie des couleurs: Pourquoi Ho’oponopono est l’antidote du jaune

1°) Psychologie des couleurs:  le jaune ne connait que sa vision étroite

 

J’ai toujours de très bonnes raisons pour faire Ho’oponopono.

 

Souvent c’est pour nettoyer un état émotionnel, une difficulté ou une souffrance mais les ¾ du temps c’est pour nettoyer mon mental.

 

Je vais vous raconter quelques unes de ses facéties et je suis certaine que vous allez, comme moi, trouver d’innombrables situations où faire Ho’oponopono.

 

Je lisais ce matin sur Facebook l’épitaphe virtuel d’un gars qui vient de perdre une personne importante pour lui. Je lis un peu en diagonale et je comprends que c’est sa tante avec qui il était très en lien qui est partie.

 

Puis comme il avait l’air de parler de sa mère aussi, je relis le texte parce que je n’étais plus certaine de bien comprendre son propos.

 

Et là, Gasp!, je découvre qu’il ne parle que de sa mère du début à la fin. Pas l’ombre d’une tante dans son texte !

 

La tante, c’est mon cerveau qui a fait ça ! Il connait, il a été élevé une bonne partie de sa vie par sa tante donc il fait des associations avec sa vision étroite et il repeint toute la réalité avec cela.

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Le mental (associé à la couleur jaune) veut avoir raison. C’est lui le centre du monde. Cet article est la 2 eme partie d’un ensemble sur le jaune et le mental.

 

Pour lire la première partie de l’article, cliquez sur psychologie des couleurs 1.

 

Alors, que s’est il passé vraiment pour moi?

 

Une fois que mes yeux ont enregistré (et créé de toute pièce des mots dans le texte!) que c’est de la tante dont on parle, mon mental défend sa vision.

 

Il veut avoir gain de cause et être entendu puisqu’il est sur de lui…mais sur de quoi en fait ? De projeter son monde sur tous les évènements de sa vie!

 

J’étais effarée de ce que mon mental est capable de faire ! Dire qu’on se fie à ses sens pour appréhender la réalité !

 

Vous avez déjà égaré vos clés et vérifié de vos propres yeux qu’elles n’étaient pas dans votre sac? Et puis quelqu’un d’autre que vous cherche au même endroit et les trouve!

 

Voilà ce que je veux dire quand je m’interroge sur la fiabilité de nos sens.

 

Dans mon monde à moi, c’est vrai que ma tante a pris la place d’une mère mais c’est vrai aussi que je l’ai vu écrit dans l’article.

 

Dans le monde de l’autre, il a juste parlé de sa mère. Vous ne pouvez jamais savoir ce qu’il y a dans la lorgnette de l’autre parce que vous ne voyez que la votre!.

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Le mental est parfaitement capable de contrôler vos sens. De vous faire voir ce qui n’existe pas, de vous faire sentir ce qu’il a besoin que vous sentiez, de bloquer le ressenti de ce qu’il ne veut pas que vous sentiez !

 

Lorsque je reçois des couples en consultation, je suis toujours ébahie de voir comment chacun vit sur une planète différente.

 

Chacun défend son point de vue. Le jaune ne sait pas qu’il se croit seul au monde. Il a forcément raison. Dans son monde c’est vrai mais pas dans le monde de l’autre !

 

En général, je prends d’abord les personnes séparément pour comprendre sur quelle planète elles vivent avec leur mental.

 

Puis je les vois ensemble pour qu’ils puissent découvrir que la personne avec laquelle ils sont en relation vit en fait sur une autre planète. qu’eux

 

Tant que vous n’avez pas conscience de cela, vous allez vous voir en train d’argumenter ou d’insister dans une conversation parce que vous êtes certain que c’est vrai sur votre planète.

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Demandez-vous ce que vous essayez de défendre finalement. Et si ce que dit l’autre était vrai dans son monde ? Pourquoi ne pas le laisser à ses croyances…

 

Alors, peut-on trouver un dénominateur commun entre deux personnes lorsque chacune perçoit le monde au travers de son mental ?

 

A bien y regarder, trouver un terrain d’entente pour les couples représente 5% de la séance.

 

Les 95% restants sont dédiés à ramener chacun à ses interprétations, à sa vision erronée, son jaune quoi!

 

Qu’est ce que je fais pendant ce temps là mis à part le fait de mettre à disposition tous mes outils thérapeutiques ?

 

Je fais Ho’oponopono (je vous explique plus loin dans l’article comment faire si vous ne connaissez pas).

 

Parce que si chacun d’eux est sur une planète différente, je ne fais pas exception.

 

Alors, pour être certaine de ne pas laisser ma planète interférer avec la leur, je nettoie mon mental et sa vision avec Ho’oponopono.

 

2°) Ho’oponopono, le meilleur antidote contre le mental

 

Avez-vous déjà essayé de raisonner un mental en pleine insécurité, quelle soit financière ou liée à des humains ?

 

Pas facile d’en venir à bout. Vous avez beau jouer la carte d’un grand frère qui vous met une petite claque dans le dos et vous dit « t’inquiète pas, ça va aller », il ne se laisse pas facilement convaincre.

 

En plus, associé au cerveau gauche, il a des arguments en béton armé. Il cherche à vous prouver que vous êtes bien en insécurité et il est très convainquant.

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Il arrive à vous vendre que vous êtes en danger même si tous les compteurs sont au beau fixe.

 

Chercher la paix ne sert pas à grand chose, il suffit de faire taire son mental pour l’obtenir !

 

J’ai un ami qui a vendu sa voiture récemment.

 

Son mental avait tout sécurisé, le jaune était à fond dans les starting blocs, il connaissait toutes les arnaques possibles pour être certain de ne pas tomber dedans.

 

Et bien que l’acheteur ait montré toutes les preuves de sa crédibilité financière, cet ami continuait à avoir peur de l’arnaque.

 

Le mental ne lâche pas son insécurité, et si vous lui prouvez que tout va bien, il va vous trouver dans l’heure une nouvelle source d’insécurité.

 

Pourquoi ? Parce que nous avez, grâce à la peur, appris à vous méfier de tous les humains au fil des expériences traumatisantes de votre vie.

 

Vous avez oublié de mesurer à quel point ce sont les adultes de votre enfance (ainsi que les fameux grands frères et grandes sœurs) qui n’étaient pas si fiables que cela…

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Lorsque c’est votre cas, que votre mental tourne en boucle avec son os favori, commencez à faire Ho’oponopono.

 

Non pas pour régler votre problème mais pour faire lâcher votre mental et trouver la paix.

 

Il se peut qu’une solution créative émerge, loin de tout ce que votre mental pourrait imaginer. je vous raconte ma dernière expérience de voyage, il y a quelques jours à ce propos.

3°) Psychologie des couleurs: Comment ho’oponopono vient à bout du jaune

 

a-Le jaune aime comprendre

 

Je me définis aujourd’hui beaucoup plus par mon cerveau droit (créatif mais approximatif) que par mon cerveau gauche (rigoureux mais sans inventivité).

 

Pourtant, j’ai réussi (il y a  quelques jours) à me faire avoir pendant un certain temps par mon mental performant qui voulait comprendre.

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J’étais à Bali. J’ai décidé de faire fabriquer des batiks énergétiques qui servent à faire monter le taux vibratoire des pièces de la maison ou des locaux de travail.

 

J’en emmène toujours un dans les chambres d’hôtel où je séjourne pour nettoyer l’énergie des autres occupants (ainsi que la mienne) et augmenter les vibrations de la chambre.

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Sauf que là, je cherchais l’adresse (j’étais en scooter) que je ne trouvais pas.

 

b- Le mental veut à tous prix trouver des solutions

 

Mon mental s’en est mêlé et m’a proposé toutes sortes de solutions pour atteindre mon objectif.

 

Au début, j’ai refusé, j’étais persuadée qu’avec mon cerveau droit, j’allais tomber sur la boutique comme c’est souvent le cas.

 

Sauf que parfois, rien de nos schémas habituels ne fonctionne. Je fais la rue dans un sens puis dans l’autre, on parle quand même d’une rue qui fait 10 kilomètres !

 

Je décide alors de sortir mon « jaune », c’est à dire un mental qui passe au peigne fin toutes les enseignes pour n’en rater aucune.

 

Le mental aime la systématisation, rien ne lui échappe, tout est sous contrôle et il ne veut rien manquer.

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Sauf que là, ça ne fonctionnait pas non plus, pas de boutique, pas de sourire de bouddha en vue (c’était le nom que je cherchais sur l’enseigne).

 

Le mental n’aime pas quand les choses (et les humains aussi d’ailleurs) lui résistent.

 

Il veut comprendre s’il est dans la bonne rue. Je m’arrête donc dans 2 ou 3 boutiques pour confirmer que c’est bien la bonne rue.

 

Pas de souci on y est même si la rue fait plusieurs kilomètres de long. Il passe alors au numéro de la rue.

 

Le mental minimise le stress et comme le fameux grand frère il cherche à me sécuriser, « ne t’inquiète pas on va trouver ».

 

Il scrute les numéros pour en déduire logiquement où doit se trouver le numéro 6.

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Chou blanc. Il n’aime pas ce qu’il considère comme un chaos et le système de numérotation lui échappe.

 

A ce moment là je n’ai pas encore le réflexe Ho’oponopono, je suis persuadée qu’une boutique dans une rue ce n’est pas sorcier.

 

Sauf que j’ai rendez-vous à une heure précise et cela crée une petite tension.

 

c- Le mental aime tout prévoir

 

Pourtant mon mental avait tout prévu, j’avais regardé l’adresse sur Google et j’avais une carte du coin dans le scoot.

 

Mais vous le savez maintenant, une mémoire est une mémoire et quand on est coincé dedans plus rien de nos trucs habituels ne fonctionne.

 

Alors je commence à faire ho’oponopono sur ma mémoire (que je connais chez moi) à propos des adresses inconnues.

 

Je m’adresse à ma petite qui est souvent perdue au niveau de la géométrie dans l’espace. Elle porte des mémoires à se retrouver seule au milieu de nulle part sans un parent en vue !

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Voilà ce que donne la prière Ho’oponopono dans ce cas:

 

  • Je suis désolée, je n’avais pas vu que tu portais des mémoires d’errance où il n’y a pas d’humain capable de te montrer la bonne direction.

 

  • Pardonne-moi de stresser aujourd’hui quand ‘il n’y a aucun réel enjeu alors que tu portes des mémoires angoissantes d’enfant perdu et abandonné.

 

  • Je te remercie de me faire vivre ce petit stress, ça me rappelle que j’ai grand intérêt à venir faire Ho’oponopono pour te libérer.

 

  • Je t’aime

 

Ça y est la machine est partie. Je n’ai plus besoin de mon cerveau logique pour trouver la boutique.

 

Je sais que, tant que la mémoire est là, je ne risque pas de la trouver, une petite de quelques mois est aux commandes, je peux juste m’occuper d’elle.

 

Je me détends et je commence à accepter qu’il est possible que je ne trouve jamais le N°6.

 

d- Le mental ne lâche pas le morceau

 

Puis je me surprends à re-scruter les enseignes avec un fond de « mais si je vais y arriver ».

 

Pourquoi le mental a t-il toujours besoin de se prouver qu’il va y arriver ? Pour faire taire l’enfant en soi à qui on demandait des choses qu’il n’était pas capable de faire sans aide.

 

Je l’ai vu un nombre incalculable de fois à l’œuvre. Pas plus tard que la semaine dernière.

 

Lorsque nous partons en Thaïlande, nous emmenons la plupart du temps un petit groupe d’irréductibles prêts à travailler sur eux mais qui veulent passer du bon temps et avancer dans leur quête intérieure dans la libération de leurs mémoires.

 

L’un d’eux s’est surpris dans une compulsion au faire plutôt que juste « être » et se détendre dans un cadre idyllique.

 

Il a tenu bon tous les jours en freinant son hyper activité puis il a craqué et a loué un surf.

 

Pas une petite planche pour s’amuser, un vrai surf comme les pros de la vague.

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Évidemment il s’est épuisé à la tâche jusqu’à ce qu’il réalise qu’il s’était encore donné un défi plutôt que de s’amuser.

 

A moins qu’ils ne soient ludiques et générateurs de joie, les défis qu’on se donne sont souvent pour plaire à quelqu’un. Un parent en fait de notre passé.

 

Un à qui on va pouvoir prouver qu’on sait bien faire sans avoir appris…que se cache t-il derrière cette compulsion au faire et de réussir tout seul un exploit ?

 

Souvent le désir de ne pas accueillir un enfant blessé dont un parent (souvent le père) ne s’est pas occupé .

 

Personne n’a fait franchir les étapes difficiles à l’enfant en le tenant par la main et en construisant en lui la foi et la confiance.

 

Donc mon mental avait encore envie de se prouver qu’il allait y arriver. Il était même capable de me dire que Ho’oponopono ne fonctionnait pas.

 

Bon je fais un petit aparté ici parce que l’objectif de Ho’oponopono n’est pas de régler vos petits problèmes domestiques pour être encore plus performant.

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Ho’oponopono vous aide à nettoyer vos mémoires douloureuses ainsi que celles de l’humanité pour revenir à l’état zéro, c’est à dire dans l’unité et l’inspiration.

 

Si dans le processus, cela règle vos petits soucis du moment, c’est tant mieux mais ce n’est pas le but ultime.

 

J’ai donc continué à faire Ho’oponopono tout en décidant de rentrer tranquillement à mon hôtel.

 

Sans lâcher le nettoyage de la mémoire !

 

On me demande souvent combien de temps il faut pratiquer Ho’oponopono

 

Aussi longtemps que la mémoire vous tient et que vous ne trouvez pas la paix dans cet instant où rien n’a l’air de fonctionner.

 

C’est pourquoi j’ai continué à pratiquer pour éviter que mon mental ne reprenne le contrôle de vouloir trouver à tous prix la boutique (pour toutes les mauvaises raisons que je vous ai citées plus haut )!

 

Vous connaissez le mental qui ne lâche pas son os? Tant qu’il le rogne, les nuages tournent en boucle au-dessus de sa tête car il ne trouve pas de solution mais surtout, il en cherche une à tous prix.

 

Du coup j’ai repensé à la loi d’attraction et aux sempiternelles 4 étapes à respecter pour manifester tout ce qu’on veut dans la matière.

 

Je ne vais pas vous dire que c’est une vaste connerie. La loi d’attraction existe bel et bien. Certaines fleurs attirent certains papillons. C’est aussi une loi d’affinités.

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Mais la loi de résonance fonctionne très bien aussi. Cachez un diapason dans un placard et faites vibrer un diapason de même nature, il va faire vibrer à l’unisson celui qui est caché dans le placard.

 

Sauf que l’indication pour manifester, c’est de mettre toute son attention sur ce qu’on veut en y mettant de l’émotionnel, de la visualisation et de l’intensité.

 

C’est ce que mon mental faisait si je ne le surveillais pas : il était focalisé sur une enseigne et il ne lâchait pas le morceau.

 

Comment se laisser inspirer si on est obnubilé par ce que qu’on cherche et qu’on veut matérialiser dans sa vie ?

 

En mettant trop de pression sur ce que vous désirez, vous risquez de le faire reculer de votre champ de vision.

 

Je continuais à faire Ho’oponopono, cela permettait aussi de nettoyer toutes les pensées à propos du rendez-vous raté et tout ce que le mental voulait se raconter.

 

Et puis quelque chose d’étonnant s’est produit. Non, la boutique ne s’est pas manifestée par magie.

 

Mon mental s’est tu !

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Vous êtes tellement habitué à l’entendre radoter que vous n’y prêtez plus attention mais quand il s’arrête, là vous vous en apercevez.

 

C’est bien cela le fruit du Ho’oponopono, trouver un état zéro qui peut s’apparenter à un état méditatif mais dans l’action.

 

L’instant d’après une pensée très nette a déboulé dans mon esprit. Pas le chewing gum remaché habituel du mental, une pensée inspirée :

 

 » Remonte ton taux vibratoire, tu t’es complètement plombée à vouloir que ça fonctionne à la force du poignet.  »

 

Ce n’était pas la grande claque dans le dos du grand frère mais bien un conseil avisé à moitié chuchoté. (L’inspiration parle beaucoup moins fort que votre mental)

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Alors j’ai regardé autour de moi ce qui pouvait faire monter mon taux vibratoire. Je n’avais pas de batik sous la main pour cela mais j’avais Bali !

 

Le vert de la végétation, les rizières, les décorations de rue, la nonchalance tranquille des habitants.

 

Je sentais que tout cela me faisait remonter une énergie douce et agréable. J’ai rajouté la chaleur agréable de la fin de journée.

 

Le plaisir de la vitesse en scooter. Les bas-côtés de la route qui ressemblent à des jardins.

 

Les offrandes disséminées un peu partout. Plus je cherchais des sources de bien-être, plus j’en trouvais, plus j’avais de la gratitude pour la vie et ce séjour à Bali.

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C’est au milieu de cet exercice plaisant qu’un bouddha rose et souriant m’est apparu.

 

C’était l’enseigne ! J’avais la ferme conviction que j’avais bien arrêté de la chercher et que c’est elle qui était venue à ma rencontre.

 

J’étais toujours dans cette énergie de gratitude, gratitude aussi pour la pratique Ho’oponopono qui, selon moi, avait encore fait un petit miracle.

 

La preuve aussi que l’objectif de Ho’oponopono n’est pas de résoudre les problèmes mais de trouver un espace intérieur (l’état zéro) dans lequel le problème n’existe pas.

 

Bien sur il existe d’autres antidotes au mental mais celui-là est simple, efficace et magique.

 

Si cette pratique vous interpelle et vous passionne comme elle le fait pour moi, j’organise cet été en Ardèche un stage du 16 au 22 Juillet 2017.(Ecrivez-moi pour avoir plus d’informations, 6 jours pour le prix de 3 habituels)

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J’offre aussi une conférence à Toulon

MARDI 13 JUIN 2017

à 20H Place d’Armes

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Et vous, connaissez-vous cet aspect « jaune » de votre personnalité, qui a besoin de se rassurer, de tout prévoir, de sécuriser à outrance l’avenir et qui, dans ses interprétations, peut être complètement à côté de la plaque? Avez-vous déjà pensé à utiliser Ho’oponopono pour nettoyer votre mental ?Laissez un commentaire

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