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Déc 24

Decodage biologique: le Sherlock Holmes de la sante

decodage-biologique-1Pour trouver le coupable, on cherche toujours à savoir, pourquoi il s’est attaqué à cette victime en particulier, quand cela a t-il eu lieu exactement et pour quelles raisons…

C’est exactement pareil avec un symptôme physique en décodage biologique:

Vous pouvez décider de prendre vos médicaments (opération, prothèse etc) en espérant que le mal ne revienne jamais ou vous pouvez, en même temps que votre médication, déclencher une passionnante enquête :

  1. Pourquoi ça m’arrive à moi ?
  2. Pourquoi maintenant ?
  3. Pour quelles raisons ?

Le principe de base du décodage biologique

Le décodage biologique est une technique récente qui part du principe que rien n’est anarchique dans le corps. Tout a une raison, même un dysfonctionnement. Ce qui préoccupe le cerveau, c’est la survie du corps. Il s’occupe de nos fonctions vitales donc de notre survie.

 

Lorsque nous sommes confrontés à un choc émotionnel important, le corps va prend le relai, c’est ce qu’on appelle « somatiser », afin que nous puissions continuer à vivre.

 

Le mal dit (mal a dit) alors quelque chose de ce choc sous la forme d’un symptôme. Il n’y a pas de maladie qui n’ait un sens caché dans le décodage biologique.

Le décodage biologique explique et traduit ce que le mal physique nous dit de notre mal psychique ou émotionnel.

Comment nait une « mal a dit » selon le décodage biologique?

Une maladie est la réaction visible (par exemple vomir) qui fait suite à une phase invisible (ex, ingérer un poison). Le corps cherche une adaptation pour sa survie.

 

Seulement, le cerveau ne fait la différence entre une situation réelle et une imaginaire.

 

Que la situation soit vécue physiquement ou pensée, ce sont les mêmes zones du cerveau qui sont touchées du point de vue scientifique et du décodage biologique .

Vous êtes sceptique?

 

Pensez alors à un citron bien frais dans votre frigo. Vivez en pensée le fait de le tenir dans votre main, de le couper en deux et de mordre dans la pulpe. Si vous déroulez suffisamment longtemps la scène, vous allez vous apercevoir que vous salivez…

 

Le cerveau ne fait pas de différence avec un citron réel. Il reçoit ses informations par l’extérieur donc les 5 sens, mais aussi par l’intérieur, la pensée.

 

Si nous entretenons un conflit émotionnel avec une personne, notre inconscient va chercher une solution biologique adéquate (au niveau du symbole) pour nous aider, c’est à dire une maladie.

 

Prenons l’exemple d’une personne qui m’empoisonne la vie, je peux déclencher une maladie qui m’oblige à vomir. La maladie ici n’est pas considérée comme une épreuve mais une réaction biologique de survie face à un événement émotionnellement ingérable.

 

Tout est analogie en décodage biologique .Tous les symptômes démarrent par un choc précis, réel ou virtuel. Ce choc crée un stress dans le corps, afin de pousser la personne à trouver une solution au conflit.

 

On peut considérer la maladie comme un système d’attente de résolution. Si par contre, la personne en question me fait peur au point que je n’ose pas lui dire ce que je pense, c’est une angine que je vais déclencher ou une extinction de voix… vous voyez où je veux en venir…

 

Le décodage biologique s’occupe ainsi de l’aspect symbolique du stress. L’organe qui est touché est prévisible lorsqu’on connaît les relations entre les organes et les méridiens.

 

Tout est une question de ressenti pour le décodage biologique.

 

Pendant la phase de stress, ce n’est pas l’intensité du conflit émotionnel qui prime mais la façon dont je vais le ressentir qui va guider mon cerveau. Vous trouverez des exemples dans mon autre article sur le décodage biologique.

 

Prenons l’exemple d’une séparation (comptabilisée comme indice 75 sur l’ échelle du stress où 100 représente la mort d’un proche et 10 se faire arrêter pour excès de vitesse).

  • Si ma dévalorisation est purement esthétique, c’est le sternum qui est touché.

  • Si ma dévalorisation est liée à la parole, c’est la mâchoire.

  • Si je me sens coupable , je vais pencher vers des états dépressifs.

  • Si je dois quitter le domicile , la perte de territoire peut entraîner des troubles cardio- vasculaires ou urinaires.

  • Si cela entraîne des disputes et que je doive dénoncer, un problème aux bronches

  • Si je me sens agressé, un ulcère à l’estomac.

  • Si l’évènement est impossible à digérer, système digestif.

  • Si je sens que tout s’est écroulé, j’ai le syndrome du réfugié, reins et hypertension.

  • Si j’ai peur d’être privé de mes futurs petits enfants, la prostate.

  • Si enfin je suis soulagé perce que j’attendais que la relation s’arrête depuis longtemps…je ne développe aucun symptôme !

A quoi cela sert-il donc d’avoir une mal a dit et qu’en dit le décodage biologique?

 

Cette première phase de stress qui déclenche une maladie ou un symptôme nous permet de rester en vie, de nous défendre et de nous mobiliser pour développer des actions conscientes en vue d’une solution. (le désir de nous libérer du symptôme).

 

Le cerveau, par le biais du corps nous donne des indices sur le problème à solutionner. Il nous laisse toujours le temps de trouver une issue même dans le cas des maladies fatales.

 

Pour le décodage biologique, le but principal de la maladie, paradoxalement, c’est de ramener la paix à l’intérieur après un délai de réparation.

la maladie est l’effort que fait la nature pour guérir . Carl.G.Jung

 

Que préconise le décodage biologique lorsque j’ai un symptôme ?

 

Il est important de se souvenir que le cerveau ne fait rien par hasard mais toujours dans le sens d’une amélioration et de la croissance.

Vous en doutez ?

Souvenez-vous que vous êtes sur une planète où tous les êtres vivants partagent les mêmes éléments chimiques : Carbone, Hydrogène, Oxygène, Azote même s’ils les combinent de façon différentes.

 

Tous développent des systèmes d’adaptation pour rester en vie et se multiplier.

 

Si vous mettez des graines en terre, à moins d’un accident, il y a toutes les chances pour qu’elles croissent et se multiplient.

 

La survie et l’évolution de l’espèce sont des lois immuables de l’univers. La maladie n’échappe pas à cette loi, elle est là pour les mêmes raisons.

 

S’il nous reste des peurs et des doutes à ce propos, c’est sans doute qu’ils ont été « engrammés » dans l’enfance suite à des évènements traumatiques ou érigés sous forme de croyances dans notre famille ou la société.

 

Posez-vous ensuite ces trois questions pour orienter votre réflexion quant à la cause:

  1. A quand cela remonte ?

    En décodage biologique, on  remonte à 48 heures pour trouver l’origine des petits bobos

    Pour des symptômes plus graves comme le cancer, remontez de 1 à 9 mois.

    Il n’est pas nécessaire de chercher dans sa petite enfance pour trouver la cause qui déclenche, même si certaines informations peuvent s’avérer utiles pour la totale guérison.

  2. Qu’est ce que ce symptôme m’oblige à faire ? C’était peut-être le but de la manœuvre!

  3. Qu’est ce que cette « mal a dit »m’empêche de faire ? C’est peut-être aussi l’objectif de cette maladie: arrêter de faire ce que je fais car je crée trop de stress.

La réponse à ces trois questions vous ouvre la porte de votre inconscient.

 

Peut-on guérir définitivement alors grâce au décodage biologique ?  

 

Le décodage biologique aide au suivi médical mais ne le remplace pas. Si vous réussissez votre enquête, vous êtes guéri à vie de ce symptôme et les médicaments fonctionnent.

Il est important de rechercher la cause non consciente, la véritable origine de la maladie.

 

On traite ainsi la cause en même temps que l’effet : on traite le vomissement et on recherche l’aliment qui empoisonne le corps pour éviter de prendre des médicaments à vie contre le vomissement.

 

En décodage biologique, on décode l’organe touché puisqu’il symbolise un ressenti très précis. L’analyse psychosomatique aide à comprendre ce qui arrive et donne un sens à la maladie.

 

Enfin, on rentre en partenariat avec son corps et on lui propose de prendre en charge l’émotion jusque là ingérable (en se faisant aider par exemple) pour qu’il n’ait plus à le faire à notre place.

 

S’il y a lieu, on pose des actes qui vont dans le sens d’un apaisement, d’une acceptation, voire d’un pardon.

 

Christian Flèche, spécialiste du décodage biologique explique cette technique en utilisant l’analogie de l’eau qui coule sous la porte de la salle de bains:

 

Je m’aperçois que de l’eau passe sous la porte de ma salle de bains:c’est le symptôme.

Je peux décider d’éponger tous les jours pour ne pas inonder la maison ( c’est prendre un médicament sans conscience ou décider d’une opération immédiate ou d’une prothèse).

Je peux aussi ouvrir la porte de la salle de bains et fermer le robinet. (faire un traitement de fond)

Si le symptôme revient, je peux me poser la question de qui oublie de fermer le robinet dans la maison sans que je m’en aperçoive. ( je cherche une cause dont je n’ai pas encore pris conscience).

Après enquête, je m’aperçois que c’est mon fils qui est distrait, comme il est distrait dans ses études d’ailleurs.

Je décide de lui parler (je vais faire un partenariat) et il me fait comprendre qu’il se sent abandonné par moi, c’est ce qui le rend triste et distrait.

Je m’aperçois que je travaille trop et que je ne suis jamais là pour lui. (Je vais poser un acte dans le sens de la guérison du problème).

 

Ce processus du décodage biologique est applicable à la psychothérapie, il résume parfaitement ce qu’est un vrai travail sur soi. Il y a peu de chance pour que je retrouve de l’eau sous la porte de ma salle de bains…

Vous trouverez ci-dessous un autre article sur le thème du décodage biologique:

Le décodage biologique au pays des sultans

Et vous avez-vous un symptôme qui nécessite un début d’enquête? N’hésitez pas à commenter ou poser une question!

Sur ce thème, découvrez également cet article de Divine lumière:

les 3 clés de l’auto-guérison

 

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